Le Management est resté longtemps prisonnier d'une vision positiviste, mécaniste et verticale . Pour paraphraser le sociologue Cornelius Castoriadis, il a été pris dans les filets de l'imaginaire instituant dominant. Cela avait une fonction: soutenir les stratégies de volume et de prix.... dont on s'aperçoit enfin aujourd'hui que celles - ci ont crée des externalités négatives considérables.
On peut vérifier aisément cet enfermement à la fois à la façon dont les managers du passé ironisaient sur les valeurs féminines de l'espèce humaine et aussi à leur crispation sur une conception très centralisée du pouvoir.
L'époque a ceci d'intéressant que ce modèle, qui a eu son utilité à un moment donné de l'histoire économique et sociale, est en train de voler en éclat. L'ouvrage d'Isaac Getz en 2012 sur l'entreprise libérée a fonctionné comme un révélateur de cet insupportable domination s'accompagnant d'un surgissement de modèles alternatifs, se présentant parfois sous une forme radicale comme la sociocratie ou l'holacratie, voire l'harmocratie.
La nouvelle génération qui arrive est en train de nous expliquer que cette conception n'est plus acceptable. Une autre figure du manager est certainement en train d'émerger. Les institutions chargées de le former (formater ?) sauront - elles l'instituer avec pertinence ou resteront - elles accrochées aux représentations du passé.
A suivre très attentivement ...
On peut vérifier aisément cet enfermement à la fois à la façon dont les managers du passé ironisaient sur les valeurs féminines de l'espèce humaine et aussi à leur crispation sur une conception très centralisée du pouvoir.
L'époque a ceci d'intéressant que ce modèle, qui a eu son utilité à un moment donné de l'histoire économique et sociale, est en train de voler en éclat. L'ouvrage d'Isaac Getz en 2012 sur l'entreprise libérée a fonctionné comme un révélateur de cet insupportable domination s'accompagnant d'un surgissement de modèles alternatifs, se présentant parfois sous une forme radicale comme la sociocratie ou l'holacratie, voire l'harmocratie.
La nouvelle génération qui arrive est en train de nous expliquer que cette conception n'est plus acceptable. Une autre figure du manager est certainement en train d'émerger. Les institutions chargées de le former (formater ?) sauront - elles l'instituer avec pertinence ou resteront - elles accrochées aux représentations du passé.
A suivre très attentivement ...